D'UNE RIVE A L'AUTRE
Ce récit est un roman biographique, l'histoire romancée de mes parents entre 1948 et 1962. Il conte les moments fondateurs de leur vie de couple, laquelle s'inscrit dans une époque chargée de l'Histoire avec un grand H : la colonisation en Afrique noire, moment d'aventure et de jeunesse au cœur de la brousse africaine et l'indépendance de l'Algérie, moment douloureux d'un jeune couple pris dans la tourmente de l'Histoire. Il n'y a pas de vérité absolue dans cette histoire, mais la volonté de s'approcher au plus près de ce qu'elle a pu être, avec les éléments dont je disposais : quelques photos, quelques anecdotes racontées, l'imagination pour reconstituer ces moments de vie particuliers et bien sur des recherches pour la partie historique.
J'y ai ajouté mes propres réflexions, mon ressenti d'enfant devenue grande que cette histoire a forcément imprégnée, même à son insu.
NB : ce roman est illustré de photos prises par mon père à l'époque. Il existe en version "sans photos" sous le titre de "Autrefois au pays de mon enfance".
EN VENTE SUR BOOKELIS au format numérique pour la version photos et la version "sans photos"
ou directement auprès de moi dans les deux versions, avec une dédicace.
Ce que disent les lecteurs amis ou inconnus
Au fait, j'ai lu ton livre et tu me croiras si tu veux j'ai aimé.
D'abord, il n'est pas anxiogène ce qui m'a permis d'aller jusqu'au bout et de retrouver le plaisir (et l'envie) de lire le soir au coucher.
Ensuite, effet du temps ou pas, je n'y ai pas retrouvé certaines maladresses de style de ton 1 er bouquin : plus de fluidité mais tes descriptions restent indéniablement et toujours pour moi tes meilleurs morceaux.
Sinon, réalité du livre ou reflet d'une succession d'états émotionnels personnels, voici ce que j'ai traversé, en le lisant:
En 1er c'est à peu près jusqu'au moment du départ vers des terres inconnues de ta maman : Comme je te l'ai déjà dit, dans cette partie, c'était pour moi un peu comme s'il fallait à tout prix que j'adhère à l'idée d'un amour exceptionnel entre tes parents. Personnellement j'aurais préféré le découvrir de moi-même au travers des évènements, des réactions des personnages, par une sorte d'immersion dans l'intimité des êtres, recomposée par toi, plutôt qu'avoir l'impression de vouloir être convaincue par l'auteure.
En second c'est toute la période sur l'Algérie.
C'est le passage le plus "littéraire" pour moi en ce que je te sentais investie dans l'histoire en tant que toi : lectrice, je n'étais plus dans une position d'observatrice vraiment, de "voyeur" mais j'étais entrainée avec toi (et tes parents) dans un vécu fort, vrai, charnel. Tu m'as emportée dans ton monde et j'ai apprécié. Je lisais un livre, je ne lisais pas le "livre d'Arlette".
(Martine, une amie)
Préambule : je ne suis pas critique littéraire (à peine un amateur du dimanche), tous mes commentaires sont donc à prendre pour ce qu’ils sont : des impressions que ton texte suscite chez un novice.
J’ai beaucoup aimé lire d’une rive à l’autre et je suis admiratif du travail fourni pour arriver à ce beau résultat.
- Beaucoup de matière, d’idées. Une très bonne histoire. La dimension historique du roman apporte une tension dramatique qui monte en crescendo et réussit à accrocher le lecteur .
- Un style lissé, travaillé.
- Une structure en trois parties principales bien équilibrées.
(Pierre François, un auteur que je ne connais pas et qui fût mon bêta lecteur)
